Des règles permettant des « droits de réponses » devraient être définies avec précision pour empêcher qu'un politique en investive un autre sans que celui-ci puisse répondre.
A l'assemblée nationale, les intervenants (députés ou ministres) interpellent fréquemment d’autres personnes présentes sans que la personne interpellée n’ait la possibilité de s’exprimer pour répondre ou préciser un point de vue.Par exemple : un député interpelle un ministre par une question et le ministre en répondant interpelle parfois le député en retour sans que celui-ci ne puisse de nouveau parler. La discussion et l’exposition des argumentaires n’a donc pas le moyen/le temps de prendre de la profondeur.M.F. (04-02-2007)