Nous proposons que le nombre de cours dédoublés soit d'autant plus grand que la catégorie sociale de l'établissement est basse ; que les jeunes enseignants et chefs d'établissements ne puissent être affectés dans ces établissements qu'après deux années de service en tant que titulaires ; d'y créer des postes d'enseignants formateurs afin d'y réinjecter des enseignants expérimentés. Surtout, nous garantirons une égale exigence entre les élèves de tous les territoires.
On nous dit depuis plusieurs années qu'on « donne plus à ceux qui en ont moins », or on se rend compte que c'est tout le contraire. Les établissements des quartiers populaires ont des enseignants et des chefs d'établissements peu expérimentés, les élèves y sont parfois plus nombreux par classe, on y trouve un moindre choix d'options, la cour des comptes pointant qu'il peut même y avoir un différentiel allant de 1 à 7 au bénéfice… des établissements de centre ville !Nous proposons que le nombre de cours dédoublés soit d'autant plus grand que la catégorie sociale de l'établissement est basse ; que les jeunes enseignants et chefs d'établissements ne puissent être affectés dans ces établissements qu'après deux années de service en tant que titulaires ; d'y créer des postes d'enseignants formateurs afin d'y réinjecter des enseignants expérimentés. Surtout, nous garantirons une égale exigence entre les élèves de tous les territoires.