- Au 1er tour, se présenteraient des groupes (familles politiques à sensibilité proche) : groupe d’extrême gauche (LCR, LO, PC, etc.), groupe de centre gauche (PS, Verts, PRG, MRC, etc.) groupe de centre droit (UMP, UDF, CPNT, etc.) et groupe d’extrême droite (FN, MNR, etc.)- Au second tour, seul les membres du groupe gagnant présenteraient des candidats.
Le 21 avril 2002, on s’en souvient, Lionel Jospin, le candidat du PS, n’était pas au second tour. La raison : un grand nombre de voix de sympathisants de la gauche ont voté pour des candidats « plus à gauche » que Lionel Jospin (le PS étant le parti le moins « à gauche » des partis de gauche). Les français n’ont pourtant pas davantage voté le Pen qu’en 1995 (en nombre de voix) et ont moins voté Chirac. En résumé, les français ont du subir les conséquences d’avoir voté plus à gauche aux présidentielles, ils se sont vu affligés de l’élection d’un candidat de droite, Logique ?!…Afin que l’élection présidentielle puisse permettre l’expression de la diversité des opinions. Pour que la multiplication des candidats n’entraînent pas des résultats en contradiction avec les votes et afin que l’élection ne soit pas qu’un dipôle n’entraînant que des oppositions caricaturales, malsaines et stériles, il faudrait revoir l’organisation de l’élection présidentielle.Il serait possible d'envisager une élection présidentielle à groupes proportionnels.- Au 1er tour, se présenteraient des groupes (familles politiques à sensibilité proche) : groupe d’extrême gauche (LCR, LO, PC, etc.), groupe de centre gauche (PS, Verts, PRG, MRC, etc.) groupe de centre droit (UMP, UDF, CPNT, etc.) et groupe d’extrême droite (FN, MNR, etc.)- Au second tour, seul les membres du groupe gagnant présenteraient des candidats. Cette nouvelle organisation pourrait impliquer l’augmentation du délai entre les 2 tours.