Toute personne bénéficiant d’un revenu quelconque de solidarité versé par l’Etat (RMI, etc.), devrait en contrepartie, travailler pour celui-ci.
Dans certains cas de figure, des personnes ne veulent pas occuper un emploi qui leur ferait perdre certaines aides et conduirait à diminuer leur revenus. Parallèlement, il est de mode de restreindre au maximum le budget de l’état et de dénoncer l’assistanat. De même que l’on dit que « tout travail mérite salaire », il faut aussi que « tout salaire mérite travail ».Ainsi, toute personne bénéficiant d’un revenu quelconque de solidarité versé par l’Etat (RMI, etc.), devrait en contrepartie, travailler pour celui-ci. De nombreux emplois pourraient être imposés en échange de ces revenus de solidarité, dans les municipalités (travail en mairie, entretien des rues, etc.) par exemple.Ainsi,- on augmenterait le nombre d’agents de service public (sans augmenter les dépenses publiques pour les salaires correspondant).- on arrêterait d’encourager l’assistanat et l’inactivité de certains citoyens tout en leur donnant un rôle utile dans la société.- on justifierait le versement d’un salaire pour service rendu et non par « pitié ». Bien entendu, les salaires versés devraient être décents par rapport au travail effectué (même si l’Etat a tendance à sous-payer ses employés). La personne concernée arrêterait de recevoir son revenu de l’Etat dés qu’elle trouverait un emploi et cesserait alors de travailler pour lui.